Prêche de tonton Moandre.

*Le nouvel arrivant, un homme crasseux a l'expression a demi folle et poussant des ricanement aurait prononcé un discourt sur la place centrale.*

Ôtez la subordination, mettez cette corde hors de l’unisson,
Et écoutez quelle dissonance va suivre.
Toutes choses se rencontrent
Pour se combattre : les eaux renfermées dans leur lit
Enflent leur sein plus haut que leurs bords
Et trempent la masse solide de ce globe :
La force devient la maîtresse de la faiblesse,
Et le fils brutal va étendre son père mort à ses pieds.
La violence s’érige en droit, ou plutôt
Le juste et l’injuste,
Que sépare la justice assise au milieu de leur choc éternel,
Perdent leurs noms, et la justice anéantie périt aussi ;
Alors chacun se revêt du pouvoir,
Le pouvoir de la volonté, la volonté de la passion,
Et la passion, ce loup insatiable,
Ainsi secondée du pouvoir et de la volonté,
Doit nécessairement faire sa proie de toutes choses et finir par se dévorer elle-même. »

*le prêtre pris un instant une pause*

Les lois et l'autorité sont nécessaire a la structure du monde, sans le respect dû a l'autorités du au gouverneur, il n'y aurai que le chaos, sans le respect montré aux dieux, cela serai la même chose. Nous les mortels nous avons besoin d'ordre, de stabilité afin de pouvoir vivre.

Nous devons bannir de notre seins le chaos et les éléments ne respectant pas l'ordre de Danaran. Ceux portant offense aux autorités de notre ville, aux défenseur courageux du peuple comme le les miliciens, ou encore a ceux qui insulte les dieux. Car une fois leur colère enclenché sur certains, elle s’abat sur l'ensemble de la communauté et il est très difficile de se remettre dans les bonne grâce d'une divinité en colère. Le chaos est comme le feu, ils sont par excellence lié. Si nous ne le maîtrisons pas, si nous laissons ces agents libre de faire ce qu'ils veulent. Alors tout ce que nous tenons sera détruit, prenez garde et ne toléré par le désordre, pas en ces temps de renouveau ou tout est a rebâtir. Aujourd'hui plus que jamais nous devons avoir confiance dans le sang des fondateurs de notre ville et dans les outils qu'ils ont crée pour nous protégé. Ceux qui les critiques ne valent pas mieux que les ennemis dont nous somme défaits il y a des années au prix de nombreux sacrifice.
Puisse le Semeur des Ténèbres être clément avec vous et son message être entendu"

*le prêtre descend de son banc et perdant son air sérieux et grave, et s'ourle d'un petit sourire, avant de filé en sautillant et ricanant*

" Peuple de Danaran... *parlant toujours de sa voix sérieuse, le regard vide*

On demande a tous et a chacun d'apporté notre contribution a notre citée, de la servir, ce que nous faisons tous a notre manière. On demande a beaucoup l'innovation et la construction de nouveau projet, de crée de nouvelle perspective afin de contribuer au développement de notre citée. On oublie parfois qu'aider la citée c'est aider a conservé les acquis qu'elle possédé déjà, et c'est pour cela aujourd'hui que je suis là. C'est pour cela que je prend la parole afin d'aider a mon tour d'aider Danaran.

Depuis la nuit des temps , les ancien dieux nous ont accompagné, alors que les premiers hommes utilisaient des armes de pierre grossière pour occire leur ennemis et voyageaient sans avoir aucune maison les dieux étaient déjà là. Les nouveau dieux ne sont pas différents, ils sont la facette forte, des créature primitive et faible que nous adorions jadis.

Les dieux sont partout, et dans toute choses, la vie se développant sur les reste d'un mort sous le patronage de Moandre, a la lune qui resplendit tout les soir sous l'office de Sélunée. Nous les êtres vivants de ce monde avons établie un pacte avec les dieux, un pacte sacré et éternel. En échange de notre dévotions et de notre soumissions a leur cause divine, que nous choisissons d'épouser, les dieux offres a certaine personnes une modeste partie de leur pouvoir pour permettre aux vivant de façonner le monde et crée des miracles.

Mais ces choses ne sont pas des acquise; les dieux exigent notre dévotions et notre respect, ce n'est qu'au terme de celle que nous, prêtres avons le pouvoir nécessaire afin d'aider Danaran. Ce n'est qu'au terme de notre respect et notre dévotions a tous que vous bénéficiez de nos protections et de nos soins. C'est ces mêmes pouvoir divin qui on favorisé bien des batailles par le passés, autant ici a Danaran, que partout ailleurs dans le multivers

Ne blasphémez pas, ne faite pas entrave aux devoir des clercs envers leur divinités, ce que nous faisons n'a que pour but de maintenir le pacte sacré et de servir la citée comme il se doit. Notre histoire est parsemé des fois ou les mortels ont essayer de défier les dieux et cela ne c'est jamais bien fini.
Il est de mon devoir de vous rappelé ces sinistre fait peu engageants, afin que ne nous ne égarions pas et que par notre dévotions nous puissions continuer a servir pleinement la citée, le Gouverneur sous l'auspice des clergé jouant le jeu."

*Le prêtre serai partie en tournant sur lui même en ricanant et en tournant sur lui même, reprenant peu a peu vie lorsque le message fut passé*

Une bête jadis dans les bois se cachait,
Hantant les clairières, traquant les innocents,
Attaquant les riches et pauvres, assoiffée de leur sang,
Vivant de rapines et de chair dévorer.

Nul n’allait dans les bois dès les vêpres sonnées :
Ni brave sergent d’armes, ni pieux homme de bien,
Sinon un gai sire, très noble Valduissien.
Qui chevauchait sans peur, parcourant les sentiers.

Lord Yorwan était son nom, sa mère il n’oyait point ;
Se disant chevalier, alla dans la forêt,
Sous lui un destrier, dans son poing une épée.
Tous deux dans une branche façonnés par sa main.

L’idiot du village l’attendait près du point :
« Ou vas-tu de ce pas armé de tes jouets ?
Prend garde à la bête, à ses dents aiguisées ! »
Mais Yorwan s’en alla, défiant toute raison.

Il s’arrêta plus loin, au pied d’un grand bouleau,
S’y reposa un peu, mais point ne tourna de bride ;
Joua dans la clairière, battant le tronc livide,
Fatigué de ses jeux, s’accorda bref repos.

Las, quelque bucheron le vit et le gifla :
« Griffes et croc te prendrons, si tu t’attardes ici ! »
Il le battit de sa cognée, mais rien n’y fit :
Le garnement s’enfuit, s’enfonçant dans les bois , gnihahahaha !

Ça et là, sous les futaies, sous racines et taillis,
Quand bien même le Soleil laissait place à la Lune,
Yorwan continua, sur de sa fortune,
Mais au milieu des ronces, l’antre du monstre il vit !

Destiné au trépas, inconscient du danger,
Il brandit son épée ; la bête malfaisante
Le repoussa sans peine de sa patte puante,
Mais Yorwan avançait , tel un fier chevalier.

« Que viens- tu faire ici , enfant à la chair tendre ?
Comment donc oses-tu de ta voix me railler ?
Je tuerai tes parents, brûlerai leur foyer !
Redoute mon courroux, fol enfant téméraire,
Car tes moquerie tu l’as fort embrasé !
Je briserai tes os et mangerai ta chair ! »

Nul onques ne vit l’écervelé Yorwan
Fragiles enfants blonds, n’allez pas dans les bois !

Le Moandrite, se trouvais sur un tas d'ordure, dans les égouts, assit tel le penseur, a regardé les grilles qui était la seule ouverture entre son royaume souterrain et la surface, la citée...

"Toute chose doit dépérir et mourir. Que la racine et la branche pourrissent l'humus de l'espoir perdu."

Le prêtre baissa les yeux vers les créatures qui était en contrebas, vers ses disciples, qui le regardaient avec crainte et espoir. Ils savaient que Vordlin était la nouvelle clef de leur existence et buvaient chacune de ses paroles. Le fait qu'il soit fou ou non n'entrait pas en ligne de compte, plus depuis qu'ils avaient reçu le Sombre Don.

Le monstre ricana, les autres divinités de cette ville était si faible, il était si facile de faire basculer le monde avec les bon levier et c'était ce qu'il avait fait. Il regarda a nouveau ses disciples , décelant le désespoir dans leur yeux. Le Sombre Don, était une chose éprouvante, une épreuve par lequel il avait était le premier a l'endurer en ces terres.

"Je sais que vous faites des cauchemars, je sais que vous entendez sa voix, et que vous le craignez. J'était tout comme vous autrefois oui oui... oui oui, j'avais peur, j'était un mortel, mais le Sombre Don m'a fait évoluer, changé. La première fois que j'ai vu notre seigneurs..."

Le prêtre se leva pour surplombé ses fidèles, qui se mirent a genoux, buvant ces paroles, dans l’espérance de comprendre la moitié de ce qui leur arrivaient.

" Tout d’abord, je crus que sa peau se tordait et se plissait. Puis je vis des douzaines de petits démons d'aspect végétal creusant sa chair, rongeant ses os et tétant ses immondes sécrétions. Cette horreur était démentie par la voix distinguée de mon maître, qui m’accueillait comme un fils prodigue alors même que je vomissais à genoux"

Le prêtre se figeât avant de regarder ses ouailles parlant d'une voix monocorde, sans personnalité, et sans vie, une voix que beaucoup n'aurait pas attribué comme la sienne.

"Ne remets jamais en doute l'enseignement de Moandre, sans quoi tu connaîtra la Mort qui Ronge. Va de par le monde et prends le contrôle des puissants en mon nom. Tue et assure-toi que le pourrissement recouvre tout. Combats le froid à l'aide du feu et de la magie. Crains-moi et ne me désobéis jamais"